Le mois d’août c’est aussi celui où j’ai perdu mon mojo. Enfin pas perdu perdu pour toujours, mais quand même, c’est toujours un peu inquiétant de n’avoir pas envie de créer ou de bidouiller quand on est plutôt créatif en général. Du coup, mon bilan sera tout petit, et tout différent par rapport aux mois précédents.
J’ai lu encore les quelques livres qui me restaient de Jane Austen, puis j’ai relu Les Fiancés de l’hiver (Christelle Dabos) que j’ai encore adoré (je l’ai déjà lu 3 fois). Du côté du développement personnel, j’ai lu Foutez-vous la paix de Fabrice Midal ; c’est vraiment un super bouquin qui donne à réfléchir dans un premier temps, et qui aide à se laisser un peu tranquille. J’ai aussi lu Technique de Visualisation Créatrice de Shakti Gawain et pour peu qu’on soit sensible à l’idée, c’est un bon moyen de s’y mettre. Puis j’ai lu Oser : Thérapie de la confiance en soi (Frédéric Fanget) qui est très intéressant mais qui, selon moi, pêche un peu au niveau de la « thérapie » justement.
J’ai regardé pas mal de films d’horreur, comme les Insidious (qui sont pas mal), les Conjuring (ça passe et y’a Vera Farminga dedans), et Annabelle 1 et 2 (Pouah). Aussi Dead Silence (de bonnes idées) et Don’t Breathe (vraiment bien).
J’ai aussi planté les graines pour l’année scolaire à venir, puisque je désire prendre des cours de développement web junior pour compléter ma formation de graphiste et faire du yoga. Donc les rendez-vous sont (presque) pris, et je visualise créatif pour que tout se passe bien.
Avec on amoureux, on a installé un coin vieilles consoles dans le bureau. Elles ont toutes leur place et c’est super joli. Les boites de mes vieux Final Fantasy on été réparées et les Cds ont tous été nettoyés.
Côté été j’ai fait plusieurs tours à la mer (pendant lesquels j’ai été piquée par une algue, revenant pleine de boutons, yeay), quelques passages en terrasse, pleins de barbecue en famille, et plusieurs soirée jeu de société. Ah oui, et j’ai mangé plein de fraises de mon balcon (au moins 10).
Un Bilan pas terrible, et en retard. Haut les cœurs quand même !